Une discothèque des Pyrénées orientales, brille actuellement par des intimidations et des violences faîtes sur les clients par Mory Fofana, un videur qui ne manque pas de se faire remarquer par ses méthodes brutales, intimidantes, violentes, irresponsables et dangereuses. Originaire de Toulouse et travaillant pour Ikam security, ce malabar ne laisse personne indifférent, et ses agissements soulèvent de sérieuses questions sur la légitimité de ses méthodes et la sécurité des clients qu’il est censé protéger.
Des méthodes controversées et une nuit d’horreur
Récemment, des témoignages accablants ont fait surface concernant l’utilisation de gaz lacrymogènes par Mory Fofana contre des clients de la discothèque. Cette méthode extrême de gestion des foules est non seulement inquiétante, mais soulève également des questions légales et éthiques quant à l’utilisation de la force par le personnel de sécurité.
La situation devient encore plus inquiétante lorsque l’on sais qu’il est le responsable de l’équipe de sécurité d’une discothèque très fréquentée des Pyrénées orientales et que l’on découvre un comportement encore plus sombre et violent affiché par Mory Fofana à Canet en Roussillon le 9 Mai 2024. Une histoire extrêmement dangereuse qui aurait pu coûter la vie d’au moins quatre personnes. Le videur bodybuildeur avait poursuivi une jeune femme qui avait refusé de rentrer de force avec lui après une soirée arrosée dans un autre établissement nocturne. Fofana conduisait à vive allure une Citroën DS 5 non assurée pour rattraper une voiture dans laquelle s’étaient embarqués la jeune fille avec un homme et deux autres filles. Complètement en état d’ivresse, il termina sa course en détruisant la Citroën DS 5 blanche contre une glissière de sécurité routière. Il ne pris même pas la peine de déclarer son accident à la police ou à la gendarmerie, car il était non seulement complètement ivre à bord d’une voiture qu’il avait conduit de Toulouse à Perpignan sans aucune assurance. Ce qui ajoute une couche d’irresponsabilité et de dangerosité à son comportement déjà répréhensible.
Glissière détruite à Canet, Ds illustrative
Ces actions soulèvent plusieurs questions urgentes :
- Mory Fofana possède-t-il une carte professionnelle valide émise par le CNAPS, qui régule l’activité de sécurité privée ?
- Une enquête formelle ne peut-elle pas être initiée suite aux accusations d’utilisation de gaz lacrymogène et de conduite en état d’ivresse ?
- Quelles mesures peuvent être prises contre un agent de sécurité qui viole répétitivement les règles de conduite ?
- Fofana a-t-il le droit de violer l’intégrité physique et moral des clients ?
- Comment les citoyens ou clients peuvent-ils signaler des comportements inappropriés ou illégaux de la part du personnel de sécurité ?
- Comment le CNAPS assure-t-il la transparence des résultats d’enquêtes sur le personnel de sécurité privée, et quelles informations sont accessibles au public ?
- Fofana est-il au dessus de la loi ?
- Sur qui compte-t-il pour se permettre de commettre de tels délit sans se sentir inquiété ?
- La Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH) accepte-t-elle de tels agissements ?
- La justice ne peut-elle pas se saisir de cette affaire ?
La sécurité des clients dans les établissements de nuit devrait être une priorité absolue, et non une opportunité pour certains de démontrer une force violente, brutale et un comportement répréhensible. L’affaire Mory Fofana nécessite une attention immédiate des autorités compétentes pour assurer que justice soit faite et que la sécurité des clients ne soit plus jamais compromise.
L’appel est donc lancé aux régulateurs, aux responsables de la société de sécurité Ikam security et de la discothèque pour lesquelles il travaille, et à la communauté pour veiller à ce que les standards les plus élevés de conduite professionnelle soient respectés, et pour que les incidents comme ceux-ci ne restent pas sans réponse. La responsabilité, la légalité et l’éthique doivent prévaloir dans tous les aspects de la gestion de la sécurité.
